En collaboration avec l'équipe du SNO CORAIL, ils ont d'abord répertorié les différentes méthodes de suivi utilisées en Polynésie française (photo-quadrant, PIT) ainsi que leurs avantages/désavantages. Le défaut principal : le temps ! Ces mesures se révèlent très chronophages à récolter. Autre contrainte : la nécessité d'un expert en biologie marine pour réaliser le suivi. Le projet des étudiants est d'essayer d'améliorer la méthode grâce à l'Intelligence Artificielle pour la comparaison d'images coralliennes à l'aide d'un réseau convolutif. L'idée est de réaliser un programme déterminant de lui-même si un corail est mort ou vivant. La création d'un tel modèle nécessite une base de données très importante :
"Grâce aux données du SNO, nombreuses et déjà traitées, notre programme est en cours de réalisation et nous pourrons bientôt réaliser des tests de comparaison", Raimana Brasier (étudiant responsable du projet).

Pour faire une demande de données SNO : planes coral cover, fish et temperature univ-perp.fr